28 mai 2010
Penaoz ema kont gand kelennadurez ar brezoneg ?
Digemer mad war ar blogEvid ar wech kenta, ez eus muioh evid 13 000 a skolidi er hlasou diouyezeg, pe e vefe reou Diwan, reou an deskadurez publik pe reou ar skoliou prevez. E miz gwengolo diweza, eo bet kresket an niver a skolidi muioh evid er bloaveziou a-raog. Daoust da ze, n'eo ket bet kresket kement ha ma ree eun toullad bloaveziou 'zo.Eun doare all a zo da studial brezoneg en eil derez, eo dibab an opsion. War-dro 5 000 a skolidi a ra an dibab-se. Med nebeutoh-nebeuta emaint. Ha nebeud-tre a vugale a vez e peb klas.Kalz a... [Lire la suite]
08 juin 2010
Les nouveaux masters pour l'enseignement du breton

14 juin 2010
Professeur des écoles bilingues : témoignages
Plusieurs commentaires ont été postés sur ce blog depuis sa création concernant les conditions de travail des instituteurs bilingues, et d'autres m'ont été transmis directement. Une question préalable se pose tout de même : pourquoi donc vouloir être professeur des écoles bilingues ? Quel est l'intérêt de ce métier ?Sur ce sujet, voici le témoignage de deux instituteurs que j'ai rencontrés, l'une exerçant dans le privé, l'autre dans le public.Témoignage 1 : "ce qui me plaît ? Travailler en breton. Le métier que je fais, je ne... [Lire la suite]
20 juin 2010
L'option de breton : que faire ?
On ne le sait pas vraiment : mais en plus des filières bilingues, il existe la possibilité d'étudier le breton au collège et au lycée comme option. Cette option concerne actuellement environ 5 000 élèves dans l'Académie de Rennes. Par rapport à l'enseignement bilingue, cette option de breton du second degré se caractérise par le fait qu'il s'agit d'un cours de langue. On y étudie aussi la culture ou la civilisation, particulièrement en 6e. On n'y enseigne donc pas d'autre matière en breton.Un enseignant me laisse entendre que cette... [Lire la suite]
04 juillet 2010
Une déclaration de la FSU au sujet de l'enseignement du breton
Jacques Brillet m’a fait parvenir le texte suivant qui constituait la déclaration préalable de la FSU, lors de la dernière réunion du CALR (Conseil Académique des Langues Régionales), le 2 février 2010, et qui garde, dit-il, toute sa pertinence.
L'enseignement des langues régionales ne peut s'extraire d'un contexte, dans sa finalité comme dans sa pratique. Aujourd'hui, la réalité linguistique en Bretagne est alarmante : il reste environ 210 000 personnes qui ont une pratique sociale de la langue. Ce nombre diminue d'environ 6 000... [Lire la suite]